Le son du LPED – Balade Sonore

Pour leur stage de fin de première année de Master Médiation, Nathan et Marie-Octavie ont travaillé au LPED : le Laboratoire Evolution Population Développement. Leur objectif ? Aider à l’élaboration et à la promotion d’une balade sonore au cœur de Marseille : “Le son du LPED”

La Journée des Doctorants

Depuis 2006, le LPED organise régulièrement Les Journées des Doctorant(e)s afin de favoriser les rencontres et les partages entre étudiants (et chercheurs) ayant des disciplines scientifiques, des thèmes de recherche, des pratiques ou des méthodes similaires. L’édition 2017, soit les 8e Journées des Doctorant(e)s, avait pour thème la mobilité et la dispersion spatiale (voir le programme « Mobilités et Dispersions : des Théories aux Pratiques »).  Et cette année, la rencontre s’est terminée par la présentation d’une balade sonore ponctuée par l’intervention de chercheurs et d’acteurs publics, spécialement conçue pour l’événement.

Création et communication autour de la Balade sonore

Dans ce cadre, les objectifs de ce stage étaient, dans un premier temps, aider à la réalisation de la balade sonore en elle-même pour sa première présentation lors des Journées des Doctorant(e). Puis, une fois la deadline passée, Nathan et Marie-Octavie ont participé à la promotion de cette balade grâce à un teaser vidéo, et à sa diffusion en mettant à disposition la balade sonore en libre téléchargement, ainsi qu’un plan du trajet pour que tout le monde puisse l’arpenter en autonomie, seul ou entre amis.

La vidéo de présentation de la balade : 

Et puisqu’on sait que ce teaser vous a forcément donné envie de gambader, on vous laisse les liens pour télécharger la balade sonore et le plan pour accompagner votre mobilité ! Bonne dispersion !

 

Les 24 heures vidéo

À l’occasion du dernier cours “Scénario, image et son” dispensé par Thierry BOTTI et Mélody DIDIER  au semestre 2, les M1 devaient élaborer, en une journée seulement, une courte vidéo de vulgarisation scientifique. Retour sur le déroulement des cours et sur les 24 dernières heures.

Les premiers essais

Avant de se lancer dans une réalisation complète, il a fallu apprendre ou revoir les bases de la création audiovisuelle : le choix du thème, l’écriture du scénario, le repérage des lieux, le choix des acteurs, le calibrage du matériel de tournage, les techniques cinématographiques, le montage et la diffusion. Pour ce faire, de la théorie bien sûr, mais surtout beaucoup de pratique. Chaque cours était l’occasion de tester des façons de cadrer, d’imaginer des mises en scène, d’affiner les jeux d’acteurs… bref, pas le temps de chômer, il faut tester et manipuler pour avancer !

Les 24 heures vidéo

Et puis vient le moment de vérité : entreprendre la création d’une vidéo de vulgarisation scientifique, en une seule journée, de A à Z. Par trinômes, les Médiations ont ainsi présenté, le 27 Avril 2017, les 3 courtes vidéos ci-dessous.

LE VIDE :
Vous pensiez qu’il n’y avait rien ? Eh bien pourtant si, il s’en passe des choses dans le vide ! Immiscez-vous avec nous dans la tête de Savinien et à travers ses aventures, partez à la découverte des étranges propriétés du vide. Qu’arrive-t-il à certain objets du quotidien lorsqu’ils sont dans des conditions spatiales ? Dans tous nos films de science-fiction préférés, n’y a-t-il pas certaines incohérences ? 

À LA DÉCOUVERTE DES ADAPTATIONS À LA SÉCHERESSE :
Deux amies se baladent dans le Parc National des Calanques de Marseille et discutent, au fil de leur promenade, des capacités d’adaptation des plantes à la sécheresse et aux incendies dans cette zone géographique.

PEUR INCONSIDÉRÉE DES REQUINS : 
C’est sur le site de Luminy et à la calanque de Sugiton que trois élèves du master ont choisi de réaliser cette vidéo, qui a pour but de montrer que l’humain n’a aucune raison d’avoir peur des requins. 

Article sur le Médiateur Territorial

Vous pouvez retrouver un article de presse présentant le métier de médiateur territorial ci-dessous : 

Médiateur territorial

Concours DD en Trans’ : les M1 remportent la 3ème place !

Pour la deuxième année consécutive, la direction du service Développement Durable de L’AMU organisait le concours “DD en Trans’: le développement durable est interdisciplinaire”, sur le campus de Saint-Charles le 6 Avril dernier. Ce concours permet de mettre à l’honneur les projets pédagogiques d’étudiants à l’AMU qui intègrent en tout ou partie des notions de développement durable et de responsabilité sociétale. Cette année, 22 projets ont été présentés et examinés par le jury, et deux d’entre eux étaient portés par les étudiants de Médiation Scientifique !

Dans la catégorie “Actions locales et territoriales et autres actions”

les M2 ont présenté “Le colloque Legu’mineuses ou Légu’majeurs: des graines pour ensemencer le monde”, un projet intégré à leur formation qu’ils ont mené quelques mois plus tôt.

Dans la catégorie “Actions AMU”

Trois M1, Claire, Fanny et Marie-Charlotte, ont quand à elles présenté “Campus Compost”, un projet volontaire visant à sensibiliser les étudiants et le personnel AMU, tous campus confondus, à la démarche de tri et de compostage sur le campus, en mettant en pratique ce dernier grâce à installation d’un composteur collaboratif. Leur idée et leur investissement ont été récompensés car à la fin de cette journée, elles ont obtenu la troisième place du concours !

Le premier prix a été remporté par le projet de jardin partagés « Espaces Verts », porté par les étudiants de la licence Sciences et Humanités et leur association RUSH. On les félicite, et on attend avec impatience de pouvoir collaborer avec eux, puisque du compost au jardin, il n’y a qu’un pas.

Pour plus d’informations sur le concours : cliquer ici 
Pour plus d’informations sur le projet “Espaces verts” : cliquer ici

Une nuit à l’OHP

Dans le cadre des stages d’application à effectuer tous les vendredi, quarte étudiants de M1 (Claire, Fanny, Savinien et Marie-Charlotte en stage au LAM) ont eu la chance de passer une journée et une nuit à l’Observatoire de Haute Provence. l’OHP est un site d’observation et d’expérience dans les domaines de l’astronomie, de la physique de l’atmosphère et de l’écologie.

Nuit d’observation

La nuit du jeudi 30 Mars rassemblait toutes les conditions pour une observation optimale : pas de lune, une météo clémente, et peu de perturbations atmosphériques. Les étudiants ont ainsi pu observer à la lunette la plus grosse planète du Système solaire, Jupiter, avec une netteté incroyable, mais également l’amas globulaire Messier 3, la galaxie du Tourbillon M51, et la galaxie de l’Aiguille, NGC 4565. Il ont également pu s’initier à la reconnaissance des constellation à l’œil nu, et à la prise de vue de galaxie a l’aide du télescope ci-dessous.

 

Visite de l’OHP

Le lendemain, les quatre étudiants on visité l’O3HP (Oak Observatory at OHP), un terrain naturel de 200 m² surmonté d’un toit amovible avec lequel on étudie la forêt de chênes pubescents et l’évolution de la biodiversité soumis aux changements globaux, notamment la sécheresse. Il ont également rencontré le directeur du site, qui leur a présenté le télescope de 193 cm. Celui-ci était doté, en 1995,  d’un spectrographe innovant appelé Élodie, qui malgré sa petite taille a permis la découverte de la toute première exoplanète ! Enfin, la journée s’est achevée avec la découverte de la coupole principale et de son télescope.